Alexandre Monnin m’a fait l’honneur de me convier à participer à ce dossier sur le concept de « communs négatifs », qu’il a grandement contribué à faire connaître et à opérationnaliser. Mon commentaire aura lieu depuis le lieu de l’hospitalité et de ses tensions d’avec l’appartenance, thème sur lequel je travaille depuis de longues années. À l’occasion de ce travail, j’ai forgé le concept d’« encaissement » (Stavo-Debauge, 2009 & 2017), dans un dialogue critique avec la tradition pragmatiste, qui intéresse aussi Alexandre. Poursuivant ce dialogue avec le pragmatisme, en y mêlant les « communs négatifs », j’essayerai de thématiser notre difficulté à accueillir la fin de mondes auxquels nous ne parvenons pas à désappartenir. Je finirai mon commentaire sur le rappel d’un article méconnu de John Dewey, où il me semble que le philosophe américain développait en 1908 un geste de renoncement similaire à celui auquel Alexandre nous appelle – et l’on verra quels phénomènes Dewey traitait comme des « communs négatifs » qu’il invitait à laisser mourir.
Mais revenons à cette idée d’« encaissement », encastrée dans ce que j’avais appelé à l’époque un « pragmatisme pessimiste » (Stavo-Debauge, 2012). Par ce terme, j’entendais saisir une trajectoire incertaine et chaotique qui va de l’ouverture de l’hospitalité (bien ou mal) donnée à la clôture de la co-appartenance assurée. Si cette trajectoire est aussi incertaine que chaotique, c’est qu’il n’est jamais sûr que le choc d’une novation (bienvenue ou malvenue) parvienne à être graduellement approprié par ceux qui y sont exposés et finisse par être versé au compte de leur expérience commune. Pour figurer cette dynamique et rappeler que l’étrange et le nouveau se reçoivent souvent comme un coup – aux effets potentiellement traumatiques et possiblement paralysants – avant d’éventuellement se percevoir comme un bienfait, j’avais ainsi mis à profit l’ambivalence des usages du verbe « encaisser ».
En effet, selon les expressions où il s’inscrit, le verbe signifie à la fois la résistance au choc enduré (« encaisser un coup »), la perception d’une valeur (« encaisser un chèque ») et la contention d’une chose récalcitrante (« une rivière encaissée »). Articulant ces différents sens, le concept d’« encaissement » était ainsi taillé pour décrire les affres par lesquelles passait une communauté qui s’affrontait au surgissement de l’inédit, résistait à ce qui (lui) arrivait ou s’efforçait de le porter à son compte – en éprouvant à cette occasion sa propre consistance et ses propres limites mais aussi celles de ce qui vient à elle et ne manque généralement pas de l’ébranler. Et si le concept avait partie liée avec un « pragmatisme pessimiste », c’est qu’il me semblait que la tradition pragmatiste avait plutôt tendance à entrevoir la novation comme une promesse de renouvellement et l’occasion d’un enrichissement de l’expérience, négligeant souvent les résistances qui sont opposées à sa perception et à sa réception.
On le voit, mon geste avait quelques points communs avec le geste qui a présidé à la confection du concept de « communs négatifs ». Là où je rappelais que « l’événement de rencontre » ne survient pas toujours comme une heureuse surprise et advient fréquemment comme un choc qu’il faut pouvoir encaisser, le concept de « communs négatifs » rappelle que les « communs » ne sont pas nécessairement des bienfaits. Les « communs » peuvent aussi être des « charges », il ne s’agit ainsi pas toujours de les faire fructifier mais plutôt de savoir s’en débarrasser ; ce qui suppose d’apprendre à les abandonner, de s’efforcer de faire sans plutôt qu’avec, de nous en déposséder et de faire en sorte que nous ne leur appartenions plus. L’autre point commun est plus directement lié à l’hospitalité, ou plutôt à la complication de l’hospitalité que l’idée d’« encaissement » tentait de thématiser. Lisons Héritage et fermeture :
« Nous héritons en effet d’une charge climatique et écologique qui va s’imposer à nous : une nouvelle atmosphère, une nouvelle terre, de nouveaux milieux écologiques, etc. Mais nous héritons aussi et surtout d’un autre patrimoine, celui-ci négatif, involontaire, et pourtant extrêmement sollicitant : des infrastructures, des modes d’organisation, des institutions du capitalisme devenus des zombies, des communs négatifs, des ruines, des entités à la dérive. Cet héritage n’est donc nullement un héritage positif, un legs, sain, joyeux, solaire et allant de l’avant. C’est un deuil, une charge. Un mandat et des responsabilités1. »
Je ne peux qu’être d’accord avec ces phrases de Héritage et fermeture, qui, à mon sens, posent un intéressant problème d’hospitalité, que l’on peut formuler comme suit : comment reçoit-on ce qui a déjà eu lieu et nous présente l’addition en forme de catastrophes à venir qui nous enjoignent à prendre en charge une multiplicité de « communs négatifs » que beaucoup d’entre nous ne perçoivent pas ainsi ? Pour le dire plus crûment encore : comment accueille-t-on la fin de mondes en lesquels nous nous tenons encore et auxquels nous n’arrivons pas à cesser d’appartenir, même s’il est évident qu’ils sont en bout de course ?
Alexandre et ses collègues veulent nous accompagner dans cet exercice, ils nous proposent pour cela des « arts de la fermeture » et de la « liquidation ». Et si ces « arts » rencontrent mes propres intérêts, c’est qu’ils regardent l’hospitalité sur sa face et en sa dimension de clôture. En effet, cet art de la clôture est aussi un savoir « fermer la porte » à certaines possibilités jusqu’ici réalisées, ce qui demande au préalable de pouvoir accueillir la fin d’un monde parce que son environnement s’épuise, disparaît ou se déchaîne. Accueillir cette fin, revient alors à apprendre à renoncer, à abandonner, à rendre inaccessible bien des choses et bien des biens autour desquels nos communautés s’établissent et s’épanouissent. Mais, et comme les redirectionnistes y insistent, on ne cesse pas d’avoir à assumer ce que l’on abandonne, dont on se sépare ou que l’on éloigne, en ceci que les choses dont l’existence est mise en question restent sous forme de « ruines », de pollutions, de milieux dégradés, d’infrastructures désaffectées. Autrement dit, leurs effets ou leur présence persisteront encore longtemps après qu’on les ait désinvesties, pour peu qu’on parvienne à s’en déposséder et qu’on consente à ne plus leur appartenir. L’héritage dont Alexandre et ses co-auteurs nous parlent est un « legs », un legs qu’il faut certes savoir et pouvoir recevoir mais cela afin de mieux s’en séparer, d’en neutraliser les effets et d’en dissiper la nocivité. Il s’agit ainsi de savoir accueillir ce dont il va falloir se priver, tout en assumant les coûts et les « charges » de nombreux « résidus » privés d’avenir et sur lesquels on aura admis qu’il faut fermer la porte.
Cependant, une fois la porte refermée, les choses qui auront été constituées en « communs négatifs » ne cesseront pas de requérir des communautés, qui n’en seront pas quitte et devront s’en occuper. Du coup, c’est aussi une autre façon de concevoir les communautés qui s’esquisse au fil des pages de Héritage et fermeture. Là où les communautés se comprenaient jusqu’à lors comme mise en commun de divers biens, il leur faudra se démettre en commun d’une partie de ces derniers et c’est cette tâche-là qui les ré-instituera : dans la reconnaissance commune de la nécessité d’accueillir la fin de mondes qui ne s’avèrent plus tenables et qu’il convient donc de démanteler et de refaire à neuf. Il s’agit ainsi de frayer une toute nouvelle manière de comprendre tout à la fois l’hospitalité et les communautés. L’entreprise est essentielle, il en va de l’hospitalité même des mondes en lesquels et desquels nous vivons. Afin de s’y assurer un avenir, il nous faut profondément les transformer et accepter d’y développer d’autres appartenances et de nouvelles sortes de communautés : des communautés qui auront à se reconstruire et à se stabiliser dans un mouvement risqué de démise d’anciennes possessions et d’obsolescents équipements qui jusqu’ici leurs donnaient consistance.
Dans cette tâche colossale, Alexandre ne néglige pas les personnes concernées et les communautés qu’elles forment : il n’est ainsi pas question de passer outre ou au-dessus des gens et de la variété de leurs associations, il faut au contraire les impliquer, les faire participer à cet apprentissage. Dans une veine très deweyenne, il voudrait que la sélection et la prise en charge des « communs négatifs » soit l’occasion d’un approfondissement démocratique : c’est aux communautés de chaque territoire affecté par le changement de climat qu’il reviendrait de décider ce qui peut et doit être « hérité », au moyen d’enquêtes idoines et avec le secours d’une planification de la fermeture des infrastructures « zombies ». Néanmoins, pour enclencher cette double dynamique d’enquête sur les milieux et de planification de leur transformation, encore faut-il que la fin des infrastructures « zombies » ait non seulement été entrevue mais aussi acceptée par les communautés de producteurs et d’usagers qui en dépendent.
Or c’est bien à cette première étape que les difficultés commencent. En effet, l’heureuse dynamique décrite par Alexandre et ses collègues repose sur notre capacité à accueillir la fin de mondes auxquels nous sommes encore attachés et dont nos modes de vie continuent à dépendre. Avant tout renoncement, il faut pouvoir accueillir la mauvaise nouvelle de la fin imminente d’un grand nombre de nos équipements et infrastructures techniques, et il est peu dire que cette nouvelle ne se reçoit pas toujours aisément. On observe même que d’intenses efforts sont faits pour empêcher que l’accueil de cette fin n’ait lieu et pour en différer la réception, retardant ainsi l’atterrissage, pour reprendre la métaphore latourienne (Latour, 2017).
Tout l’intérêt de la perspective des « communs négatifs » est qu’elle leste d’un réalisme proprement matérialiste l’horizon de cet atterrissage : elle ne se contente pas de décréter la mise au rebut de la « Production » au profit d’un « Engendrement » quelque peu éthéré (Latour & Schulz, 2022). Elle reconnaît la profonde insertion de nos vies dans de vastes infrastructures et l’inscription de nos communautés parmi de lourds appareils, dont le « démantèlement » des moins écologiquement viables est chose difficile. À mes yeux, l’un de ses grands mérites est de tenir « compte de la nécessité de recourir à des constructions artificialistes pour faire communauté », elle me semble ainsi être l’une des meilleures options « si l’on veut comprendre la relation entre les humains et les autres au lieu de considérer, à l’inverse, qu’une suppression de l’artificialisme permettrait la recréation de liens ancestraux, harmonieux, pacifiques et affinitaires avec les autres êtres, et au premier chef les êtres vivants présents sur un territoire » (Boltanski & Thévenot, 2022 : XLVI).
Nos vies sont nouées à de l’artificialité, il n’est ni question ni possible de revenir en-deçà de l’artificialité, mais il s’agit de passer l’ensemble de nos artifices et appareils au crible de l’écologie, d’admettre que certains d’entre eux sont essentiellement dommageables et qu’il convient donc d’accueillir convenablement leur fin, pas seulement en en faisant le « deuil » mais en accompagnant leur démise et en gérant les répercussions de leur « liquidation ». Comme je l’ai dit, le problème est que tout le monde n’est pas prêt à accueillir la nouvelle de la fin de bien des mondes, dont la mise en péril s’avère pourtant évidente, au point de servir d’illustrations au changement climatique.
« La crise climatique s’impose d’emblée en 2023 », titrait le journal Le Monde à l’appui d’une image de station de ski sans neige. Ce qui était également en train de s’imposer, c’est ce type d’images qui manifestent une absence : l’absence ou la raréfaction d’une pellicule de neige, élément volatile sur lequel reposent des activités relativement peu partagées socialement mais dont dépendent des régions entières. Ces images ont fleuri au titre d’illustrations du changement de climat et elles en fournissent en effet une manifestation probante. Souvent pathétiques, elles montrent aussi des humains qui s’accrochent vainement à un état antérieur du climat, lorsque ce dernier assurait encore la présence d’un manteau neigeux en cette latitude et à cette altitude. Si ces images me semblent intéressantes, c’est également parce qu’elles témoignent d’une modalité du changement de climat : non pas les éléments déchaînés mais les éléments raréfiés, absentés, amenuisés. Ici, il s’agit de la neige, mais ce peut être aussi l’eau – qui ne manque pas uniquement en cette période, sous sa seule forme floconneuse et en moyenne montagne.
Ce que l’on peut retenir de telles images, ce qu’elles mettent sous nos yeux, c’est la disparition graduelle d’un monde : le monde naturellement neigeux de la moyenne montagne, avec ses activités associées, son économie touristique, ses communautés de professionnels et de pratiquants des sports d’hiver. Évidemment, ce monde se refuse à disparaître, il résiste à son érosion et se démène pour surseoir à l’évanouissement de la neige naturelle en dépensant des fortunes dans l’artificialisation de cette manne floconneuse, au prix de dégâts environnementaux subséquents, que d’aucuns dénoncent. Ces images témoignent ainsi d’une incapacité à faire l’apprentissage de la fin d’une époque et à désappartenir à un monde qui ne tient plus qu’à un fil, ou plutôt à des canons à neige, ce qui double leur caractère pathétique.
Si j’en parle, c’est que la perspective des « communs négatifs » est taillée pour répondre à la situation de ce genre de territoires. Mais il y a néanmoins un préalable. En effet, cette perspective ne peut faire son chemin en ces territoires que pour autant que celles et ceux qui les mettent en valeur aient reconnu qu’il leur fallait renoncer à certaines formes d’exploitation de leur proche environnement. Autrement dit, ils doivent d’abord avoir réussi à accueillir la fin d’une période géo-écologique, en se démettant de leurs habituelles et désastreuses manières de valoriser l’environnement : c’est à cette seule condition qu’ils pourront accepter de fermer la porte sur des aménagements antérieurs et explorer de nouveaux futurs. Cependant, on le sait, cet accueil n’a pas toujours lieu. Et de nombreux et puissants acteurs préfèrent doubler la mise technologique pour tenter de différer l’horizon de la fin – dans le cas d’espèce, en investissant dans la « neige de culture », qui alourdit plus encore la facture écologique.
On le voit avec le cas des stations de moyenne montagne, tout le monde n’est pas prêt à accueillir la fin des mondes qui ont été conçus, aménagés et architecturés avant l’effectivité du changement de climat et je me demande s’il n’y a pas un genre d’optimisme à l’œuvre dans Héritage et fermeture, où on lit :
« Par le truchement de ce vecteur central qu’est l’héritage, la responsabilité nous prend, elle nous précède d’une certaine manière. Elle est donc involontaire et n’a pas besoin de bienveillance. Elle appelle plutôt une prise en charge froide et lucide 2. »
En effet, force est de constater que cette « responsabilité » ne « prend » pas tout le monde. L’imminence de la fin de nos infrastructures énergivores et la faillite écologique des modes usuels de mise en valeur de nos environnements n’est pas perçue et reçue par la plupart de nos contemporains et par la majorité de nos dirigeants, et cela à toutes les échelles d’administration des territoires et secteurs affectés par le changement de climat. L’inhospitalité plus ou moins forte et soudaine des environnements à certaines activités et modes de vie n’engage pas toujours les acteurs à s’en démettre ou à les réviser : ils peuvent au contraire décupler d’énergie pour s’enferrer dans de mêmes schémas, en visant à gagner du temps sur l’annonce de la fin d’un chemin de profitabilité, quitte à saccager plus avant leur milieu.
Le cas de l’extension de la production de « neige de culture » en moyenne montagne me semble ici exemplaire. Certes, bien des skieurs et snowboardeurs qui vivent sur place sont très conscients de l’anthropocène car leur art dépend d’un élément rendu rare par les conditions climatiques : une couche de neige susceptible de recevoir l’équipement léger sur lequel ils sont perchés et qui est amené à y glisser. Mais les industriels de la montagne ne s’en laissent pas compter : la neige se raréfie ? « Pas de problème, tablons sur son artificialisation ; elle ne tombe plus, produisons-la », disent-ils en chœur. Bien qu’indéniables et tangibles, la reconnaissance des effets du bouleversement climatique ne s’accompagne donc pas nécessairement d’une « bifurcation » responsable – même si un certain nombre de skieurs et de snowboardeurs s’opposent aux canons à neige, choisissant de mettre leur conscience écologique en travers d’une prolongation artificielle et machinique de leur art, qu’ils ne veulent pas pratiquer à n’importe quel prix3.
Comme je l’ai indiqué au début, en relisant l’ouvrage d’Alexandre et de ses collègues, j’ai été frappé par un parallèle avec un texte méconnu de Dewey : « La religion et nos écoles » ([1908] 2019). Dewey y envisageait une politique du « laissez-faire » (son expression) qui était en réalité une politique du laissez-mourir. Traitant les religions comme un encombrant héritage qui avait fait son temps et faisait obstacle au libre déploiement de l’esprit de la science et de la démocratie, il recommandait aux enseignants des écoles publiques de ne pas s’en occuper, de renoncer à leur porter secours : autrement dit, il incitait à les laisser mourir, en refusant de mettre le système éducatif à leur service et en cultivant plutôt d’autres attitudes et habitudes – naturalistes et donc anti-surnaturalistes.
En un sens, et si on reprend les catégories d’Héritage et fermeture, Dewey voyait très nettement les religions instituées comme un « commun négatif » qu’il revenait à l’école publique de « désinstaurer », en « bifurquant » résolument vers les sciences et la démocratie. Le philosophe plaidait ainsi pour que les travailleurs des écoles publiques se démettent en commun de ce « commun négatif » surnaturaliste et aident les élèves à y désappartenir, au profit de la plus grande communauté des citoyens et afin de cultiver leur « piété naturelle » – comprise comme un sens aigu de la co-dépendance avec leurs congénères et leur milieu naturel.
Au-delà de la parenté du geste de renoncement, si ce texte de Dewey me semble d’actualité, c’est que de nombreux courants des religions instituées constituent souvent un obstacle qui se met en travers de la croissance de la conscience de l’Anthropocène : quoi qu’il en soit, il est plus urgent de prendre soin de la terre et de respecter les équilibres écologiques que de sonder le Ciel de la théologie et de s’inquiéter des déséquilibrés qui prétendent avoir accès aux désidératas de quelques divinités, que l’on ferait bien de laisser péricliter au lieu de tenter d’y adosser notre salut politique4.
1Emmanuel Bonnet, Diego Landivar, et Alexandre Monnin, Héritage et fermeture : Une écologie du démantèlement (Paris : Éditions Divergences, 2021), p. 97.
2Opus cité, p. 100.
3Si je me suis attardé sur cet exemple, c’est que ma sœur, montagnarde chevronnée, est également une militante écologique résolue et elle a d’ailleurs été l’une des initiatrices de la lutte à la Clusaz contre un projet de nouveaux canons à neige.
4On peut ici songer au curieux programme de revitalisation d’entités religieuses ou mythiques défendu par M. Amer-Méziane dans ses deux livres.
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